
L'actu du rock indé en décembre 1988

L'actu du rock indé en décembre 1983

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L'actu du rock indé en novembre 2003

L'actu du rock indé en novembre 1998

L'actu du rock indé en novembre 1993

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L'actu du rock indé en octobre 2003

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L'actu du rock indé en septembre 2003

L'actu du moment
Toutes les trois semaines environ, un podcast d'une heure sur les meilleurs titres / groupes / disques du moment.
À suivre sur la page du webzine premo.fr, avec vous depuis 1989 !- Grian Chatten : Last Time Every Time Forever ("Chaos For The Fly", 2023)
- The Faux Faux : I Better Run ("I Better Run", 2023)
- Drop Nineteens : Scapa Flow ("Scapa Flow", 2023)
- Dead Horse One : Regenerated ("Regenerated", 2023)
- The Homesick : Good Morning II ("The Homesick", 2023)
- R.M.F.C. : The Trap ("The Trap", 2023)
- L7 : Cooler Than Mars ("Cooler Than Mars", 2023)
- The Chemical Brothers : The Weight ("For That Beautiful Feeling", 2023)
- Kap Bambino : Hong Kong Garden ("Hong Kong Garden", 2023)
- Ludwig Von 88 : Crève Salaud ("Crève salaud", 2023)
- Kid Kapichi : Let's Get To Work ("Let's Get To Work", 2023)
- Sextile : Basically Crazy ("Push", 2023)
- OOMPH! : Wem die Stunde schlägt ("Richter und Henker", 2023)
- Out Of Love : Welcome To The Luv ("Welcome To The Luv", 2023)
On écoutait quoi, en septembre 1998 ?

L'actu du rock indé en septembre 1993

L'actu du rock indé en septembre 1988

L'actu du rock indé en septembre 1983

L'actu indé du moment
Toutes les trois semaines environ, un podcast d'une heure sur les meilleurs titres / groupes / disques du moment.
À suivre sur la page du webzine premo.fr, avec vous depuis 1989 !- Squid : Swing (In A Dream) ("O Monolith", 2023)
- Sorry : Screaming In The Rain Again ("Screaming In The Rain Again", 2023)
- Cherry Glazerr : Soft Like a Flower ("Soft Like a Flower", 2023)
- Lol Tolhurst, Budgie, Jacknife Lee : Los Angeles (feat. James Murphy) ("Los Angeles", 2023)
- Slowdive : kisses ("everything is alive", 2023)
- Julie : april's-bloom ("pushing daisies", 2021)
- Dalle Béton : 49.3 ("49.3", 2023)
- No Suicide Act : La Nuit Noire ("No Suicide Act", 2023)
- Humour : The Halfwit ("The Halfwit", 2023)
- Be Your Own Pet : Big Trouble ("Big Trouble", 2023)
- The Hives : Trapdoor Solution ("The Death Of Randy Fitzsimmons", 2023)
- Helmet : Holiday ("Left", 2023)
- Bob Vylan : Dream Big ("Dream Big", 2023)
L'actu du rock indé en septembre 1978

Rock en Seine, jour 4 : sous le signe de la foule
Quatrième et dernière journée de Rock en Seine, deuxième pour moi, et un bilan relativement moyen, notamment au niveau de l'enchaînement des concerts prévus, tellement serrés qu'il est impossible d'en quitter un à la fin pour arriver avant le début de l'autre, ou presque. Qui plus est, il y a deux fois plus de monde que vendredi, c'est sans doute l'effet week-end, et c'est bien dommage car c'est bien pénible. Mais aussi, quelle idée d'aller à un si gros festival quand on préfère le Supersonic avec ses 3 places et demi ?
Julie
On commence par Julie, un groupe de shoegaze venu de Californie. Le set est pas mal, mais difficile de vraiment apprécier un groupe quand on connaît à peine sa musique, surtout en matière de shoegaze, si vous voyez ce que je veux dire : si le son n'est pas parfait, on se perd un peu dans les feedbacks, les distorsions et les larsens des guitares et les mélodies se retrouvent noyées dans la masse sonore. Pourtant Julie a sorti un superbe mini-album qui ravit les oreilles d'un fan de shoegaze comme moi. Pour le reste, ils sont très jeunes, mignons comme tout, et shoegazers dans toute leur splendeur : ils regardent leur chaussures et sont mal à l'aise sur scène. Pas de déception cependant, mais pas d'enthousiasme non plus.
The Murder Capital
The Murder Capital, c'est un peu la tête d'affiche pour les gens comme moi. Les albums sont pas mal, surtout le dernier, malgré un côté un peu trop gothique prise de tête, je préfère largement la colère de Shame, LIFE ou IDLES, leurs congénères du renouveau post-punk anglais. Mais sans a priori négatifs, on se prépare à un bon moment quand même. Hélas. Ce n'est pas que le groupe soit mauvais, ni que les chansons n'aient pas l'ampleur méritée, ni que le son ne soit pas bon, non. Le problème, ce sont le bassiste et le chanteur, qui ont des chevilles plus grosses que leurs têtes, déjà bien enflées, autant que leur nombril. Ils en font tellement sans la moindre modestie que c'est ridicule. James McGovern ne cesse d'agiter ses petits doigts en un signe qui veut dire "venez, participez, come on", il le fait même le dos tourné avec le bras dans le dos ; ou alors il pose le pied droit sur les retours et scrute le public derrière ses lunettes de soleil qu'il ne quittera jamais (normal, rock'n'roll, même sous les nuages) dans le genre "vous êtes cool les mecs et moi je suis la star" et comble du comble au milieu du set il allume une clope avec tellement de spontanéité qu'on se demande combien de temps ça lui a pris pour décider à quel moment il allait allumer sa clope pour faire cool. Et dès qu'il l'a allumée, il la prête au bassiste pour qu'il tire une taf, on voit d'ailleurs bien que l'autre attendait ce moment magique prévu à la seconde près. Quant à Gabriel Blake, le bassiste, dans son costard noir qu'il ne doit porter que sur scène, il est encore plus ridicule derrière ses lunettes de soleil qu'il ne quittera jamais (normal, rock'n'roll, même sous les nuages bis) avec ses petites mimiques prétentieuses et ses harangues grotesques. Dommage, car les deux guitaristes et le batteur sont vraiment à fond dans la musique, et on sent qu'ils sont à fond sans chercher à frimer. On part avant la fin si on veut voir Amyl & The Sniffers sur la grande scène (un comble pour un groupe destiné plutôt aux caves ou aux squats) à une distance honnête, pas comme avec Placebo.
Vidéo pas de moi (1)
Amyl & The Sniffers
Que dire sur la surexcitée Amyl et ses potes australiens ? Elle fait les mêmes grimaces que dans tous ses concerts, elle a une énergie débordante et hilarante, les mecs sont parfaits dans leurs rôles de petits punks rigolards, tout ça est rôdé à la perfection et les morceaux de deux minutes à fond les ballons avec chœurs du public et pogos débridés, s'enchaînent à toute allure. Morceaux un peu tous pareils, il faut bien l'admettre, trois accords et des guitares acérées et le tour est joué, mais c'est bien ce qu'on demande à des keupons, pas vrai ? Reste une drôle d'impression au vu de la taille de la scène et de la foule amassée : déjà à l'Elysée-Montmartre il y a deux ou trois ans, c'était un peu grand pour eux, et ça l'est ici encore plus.
Vidéo pas de moi (2)
Wet Leg
Direction Wet Leg, sans réel enthousiasme malgré un album vraiment bien et pas mal écouté, mais un peu méfiant de la hype qu'il y a eu autour de ces donzelles. De toutes façons, on croise Delphine pour papoter et on reste en marge de la foule, peinards sur un des rares poufs libres en plein-air. Et puis on se prend une grosse averse, donc on ne percevra de Wet Leg qu'un (très bon) son un peu éloigné, avec le sentiment que ça a l'air vachement bien... ce qui sera confirmé par d'autres qui y ont assisté. Tant pis pour moi donc (mais non Delphine c'est pas ta faute).
Be Your Own Pet
Be Your Own Pet a sorti deux albums en 2006 et 2008, alors qu'ils avaient à peine la vingtaine, et puis ils se sont séparés... pour se reformer en 2023 et sortir un troisième album... la veille de ce concert ! Je tenais à les voir pour les avoir beaucoup écoutés à l'époque. BYOP, c'est du garage indé hardcore pop punk, si l'on peut dire. Jemina Pearl a une présence folle sur scène, dans le genre Courtney Love (Hole) ou Karen O (Yeah Yeah Yeahs, un groupe auquel ils ont d'ailleurs souvent été comparés). Malgré un public un peu clairsemé (tout le monde est parti voir Foals), les BYOP ont un vrai charisme, le son est parfait et ils réussissent à déchaîner le public sur des morceaux qui n'existent donc que depuis la veille et que personne ne connaît et croyez-moi, le cas est rare. L'album est d'ailleurs super, et ce concert sera vraiment le meilleur moment de cette journée.
Vidéo pas de moi (3)
Foals
Comme il reste un peu de temps, j'assiste à la fin de Foals, d'encore plus loin que là où j'étais pour Placebo (décidément, les grands concerts, c'est pas pour moi). N'ayant jamais été archi-fan de ce groupe que je trouve très inégal, entre morceaux géniaux et d'autres chiants comme la mort, je prête quand même une oreille attentive pendant les vingt minutes où je suis là, et j'avoue que c'est très bien, une vraie émotion et une musique forte et prenante. Et si je réécoutais les albums ?
Vidéo pas de moi (4)
The Strokes
On s'était tous séparés, on se retrouve pour décider ce qu'on va aller voir, mais on a juste faim, soif, froid et envie se soulager des besoins naturels. On a le choix, dans le créneau "rock indé au sens large" qui est le nôtre, entre Bonobo... et Bonobo. Mais on s'en fout. Les Strokes ne seront là que dans 45 minutes... et là c'est moi qui m'en fous un peu, n'ayant jamais, comme pour Foals, été très enthousiasmé par leur rock plan-plan, gentil et sympa mais qui ne me secoue pas vraiment, et en plus sur la grande scène. Or, c'est bien ça que j'attends avec n'importe quelle musique : être secoué, perturbé, remué, étonné, enthousiasmé (au vu des comptes-rendus que j'aie pu lire ensuite, on a bien fait de ne pas y aller). Ce sera donc l'heure du retour.
Peut-être à l'année prochaine ? Ou pas.
L'actu du rock indé en août 2003

Rock en Seine, jour 2 : sous le signe de l'amour
Comme je l'avais mentionné dans mon compte-rendu du festival Levitation, je n'ai pas pour habitude de chroniquer des concerts. Seulement ça fait un bon souvenir des années après, alors je le fais encore une fois, rien que pour moi, égoïstement. Et si ça vous semble utile, banco !
Je n'étais pas à la première journée de Rock en Seine avec Billie Eillish, ni à la troisième aujourd'hui (dommage, mais quand y'a p'us d'place, y'a p'us d'place). La bonne surprise du parking pas cher tout vide, de l'entrée quasi-tranquille et d'une foule très relative étant passée, parlons musique.
Turnstile
Turnstile ouvre le bal avec son post-emo-core (comme Fragile en France, quelques groupes réinventent depuis peu le hardcore basique, même celui qui était jusqu'alors juste "mélodique" pour y introduire d'autres sensibilités, héritées de multiples courants musicaux, pour créer une musique passionnément moderne qui attire des gens de tous horizons qui étaient jusqu'alors perméables à ce genre de musique). Un son millimétré, léché à outrance, et un hardcore débarrassé de tous ses clichés. Pas de look, pas d'attitude, juste une communion spirituelle. On savait, au vu des vidéos sur YouTube, que le groupe déclenchait une hystérie extatique parmi un public déchaîné comme on en voit rarement de façon si fréquente et constante, alors on était un peu curieux de voir ça "en vrai". La ferveur épileptique se met en place au bout d'une note et demi. D'un seul coup, la moitié du public se met à bondir sur place, et il ne faut que trente secondes pour que l'autre moitié fasse de même, même chez les vieux os comme moi. Turnstile a une présence scénique incroyable. Ils déclenchent quelque chose de profondément positif, des effluves d'amour dégoulinant de partout. Leur musique fait du bien, un bien fou, et l'heure passe à toute allure, nous laissant essorés et trempés de sueur (ça fait ça l'amour, non ?)
Vidéo pas de moi (j'étais côté gauche)
Viagra Boys
On enquille sans attendre avec les Viagra Boys, qui eux aussi savent donner de l'amour, mais pas tout à fait le même. Ici rien de positif, Sebastian et sa bande sont les rois de la dérision et du cynisme rigolard. Des vrais punks dans l'esprit, trash et destroy mais sans agressivité aucune. On sent bien que les mecs sont contents et qu'ils s'éclatent, et c'est sacrément communicatif. Leur post-punk très groovy réussit à déclencher des circle pit (ce phénomène qui est devenu fréquent lors des concerts de musique "brutale", où le public se met à tourner en rond de façon relativement violente, une sorte de pogo mixé avec une ronde enfantine donc), même comme sur ce délire bruitiste sans la moindre mélodie ni le moindre rythme, juste des sons distordus venant du saxo (dont les mimiques ultra-queer caricaturales font rire tout le monde). Sebastian est déchaîné, il enfile bière sur bière, les recrache et s'en fout partout, joue avec son énorme bide et ses tétons, se marre, se roule par terre (dans la bière renversée, donc), nous propose une espèce de marche titubante qui nous donne l'impression soit qu'il ne tient plus debout à cause de la bière, soit que son corps est tellement détruit qu'il arrive à peine à marcher correctement (il n'a que 33 ans, je me suis renseigné), soit qu'il... le fait exprès, tout cela étant sans doute vrai. Un moment de parfaite jouissance et de bonne humeur donc, pour un groupe qui lui aussi déclenche des torrents d'amour.
Flavien Berger / Silly Boy Blue
On commence par quelques titres d'un Flavien Berger pierrot lunaire électro et poète déjanté qui raconte à peu près n'importe quoi et fait, lui aussi, marrer le public, malheureusement un peu seul sur scène avec ses bandes. On apprécie plutôt quand ça bouge un peu que lorsque ça frôle la chansonnette, puis on va voir une autre Française, Silly Boy Blue (un nom tiré d'une chanson de Bowie) qu'on ne connaissait pas, de la pop-rock-indé tendance new-wave gentillette mais efficace et bien foutue, le genre de truc qu'on peut écouter pendant deux heures chez quelqu'un sans que ça nous dérange et même qu'on apprécie, contrairement à de la variétoche insupportable qui donne envie de prendre congé de ses hôtes. La jeune fille saute comme un cabri en permanence, sa gentillesse et son enthousiasme sont communicatifs, bref même si l'on est loin du destroy des groupes précédents, ce n'est pas désagréable : elle nous aime, et nous on l'aime aussi, au moins pour ça.
Pas de bol, pas encore de vidéo de Silly Boy Blue sur YouTube
Pogo Car Crash Control
Il va devenir difficile de parler d'amour ici. Le quatuor français de metal alternatif mâtiné de grunge, quelque part entre l'album Bleach de Nirvana et n'importe quel album de Prong, très début des 90's donc, met le paquet dans les hurlements et les riffs qui écorchent. Ils débordent d'énergie, et leur côté juvénile, très naïf, donne envie d'écouter le morceau suivant à chaque fois, même si leur "vous êtes chauds Rock en Seine" ou "allez on tend tous un doigt" semblent un peu mécaniques, rôdés, pas très spontanés... et surtout un peu ridicules. Pas super chaleureux par rapports aux groupes précédents donc, sans doute trop pros dans leur désir d'assumer - ce qu'ils font à merveille -, mais c'est plutôt réussi pour qui a l'habitude de ce genre de musique évidemment. Mais comme on aime la naïveté, on leur pardonne leur désir de vouloir en faire un peu trop.
Vidéo pas de moi, marrant elles ont toutes été filmées à l'opposé de là où je me trouvais
Fever Ray
Direction Fever Ray maintenant, avec la curiosité de voir si Karin Dreijer (48 ans, je me suis renseigné) et sa bande de filles va offrir un show à l'image de ses pochettes de disques et de tout le visuel étrange et délirant, conceptuel, qu'elle décline à chaque sortie de disque. Son électro bizarre, qui passe de l'étrange expérimental à la techno de rave prend toute son ampleur ici, même si ce n'est pas du tout la même sensation que seul chez soi, grâce aux chorégraphies bizarres (pour elle c'est un adjectif qui revient tout le temps), aux costumes outranciers (costard-cravate blanc pour elle, femme d'affaire et pute pour ses copines qui tiennent la scène), et surtout aux grimaces de la dame qui créent franchement le malaise. Cela avec des infra-basses synthétiques dont vos poumons se souviennent encore (mais ça reste supportable). Elle termine le concert avec la BO de la série Vikings qui a sans doute concouru à la rendre célèbre, "If I Had A Heart", ce qu'on n'attendait pas trop en pensant qu'elle ne ferait rien de ce que l'on attendait, justement, mais on est contents. Ici, l'amour se déclinait aussi, un amour malsain, un peu sale, comme ce qui peut déranger dans le sexe et ses déviances qui fascinent chez les autres mais qu'on n'a pas trop envie d'essayer tout en étant bien tenté parfois.
Vidéo encore pas de moi
Placebo
Restent les stars de la journée à aller voir, Placebo que je vois pour la première fois... et probablement la dernière. Brian Molko a 51 ans (je me suis renseigné), et l'amour qui dégouline autour de moi de la part de fans relativement âgés ne me touche pas trop, même s'il est plutôt sympathique. Il faut dire que je suis placé bien trop loin de la scène, il y a beaucoup de monde, et que Molko et son bassiste bellâtre à la combinaison de cuir moulante ouverte sur son torse qui m'a toujours énervé et dont je n'arrive jamais à retenir le nom, ne sont pas plus grands que des playmobil, masqués par des tas de grands, eux, dont bon nombre portent le chapeau rouge Firestone qui leur a été offert et qui masque encore plus la vue à ceux qui sont derrière, merci. Gros problème, les écrans géants censés permettre de contourner la distance ne montrent pas les musiciens tels qu'ils sont, car des effets vidéo à la con ont été rajoutés par dessus, "pour faire arty", il faut sans doute dire un peu prétentieux ou carrément boomer (comme le disent les jeunettes qui m'accompagnent, "ça fait tellement 2000"). Eh oui. Musicalement enfin, le set est trop parfait, zéro surprise, je serais dans mon salon en train de regarder des vidéos de Placebo, ça serait pareil. C'est donc bien, car leur musique est bien et qu'elle se suffit à elle-même, mais un concert ? Aucun intérêt. On s'en va juste avant la fin, déçus par le manque de vie et d'amour en provenance du groupe, l'amour provenant du public étant passablement agaçant. On aurait mieux fait d'aller voir Dalle Béton et son génial "49.3, on n'en veut pas". Tant pis, ça sera pour une autre fois !
La suite dans quelques jours pour la journée de dimanche !
L'actu du rock indé en août 1998

L'actu du rock indé en août 1993

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